On regarde cette couverture et on pense : « Ah, la
Nouvelle Orléans, les trompettistes jazz »… oui mais non, « Jazz
Maynard » se passe en Espagne, dans le quartier chaud de El Raval à
Barcelone, et c’est plutôt la pègre, la police corrompue, les luttes de pouvoir,
les réseaux de prostitution. Ici, les mains se serrent en poing ou autour d’un
flingue au lieu de caresser un instrument musical.
Jazz Maynard, c’est un peu « Reservoir Dogs » +
une touche asiatique puisqu’on y retrouve du kung-fu et des katanas + une
touche Arsène Lupin puisque le protagoniste est un cambrioleur très doué.
Un shoot d’adrénaline pour une série très noire, servie par
un dessin sémiréaliste qui insiste sur "les gueules".
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